Le Roi ……………………………………... ………………………………………. Et je baise la main de votre Majesté. À Mazarin Venez, Monsieur. La Reine, l'œil fixé à terre, sans regarder le roi. Hélas ! Mazarin s'approche de la table et y prend un flambeau. En même temps il se penche à l'oreille de la reine. Le Cardinal, bas à la reine. En toute liberté Nous nous expliquerons. Je reviens tout à l'heure. Le roi baise la main de la reine, la salue profondément et sort, précédé du cardinal, qui porte le flambeau devant lui."
Le Masque, à genoux tourné vers la cheminée d'où le chant a paru venir. Viens ! La plaque de la cheminée tourne lentement sur elle-même comme une porte. Un rayon de lumière se fait jour par cette ouverture sur laquelle le masque fasciné fixe son regard, en disant à voix basse : Oh! viens ! maintenant ! Une femme vêtue de banc paraît à l'ouverture. C'est Alix. "
Varney Elle m'a appelé valet ! Je la hais (Tirant son poignard). Quand on songe qu'un pouce de ce fer dans ce cœur dédaigneux, rien ne s'opposerait plus au cours de tant de brillantes destinées ! … (Il fait un pas vers Amy) Alasco, l'arrêtant Varney ! Varney ! un coup de poignard ! .... On verra que c'est toi."
Elisabeth Ne levez pas ainsi fièrement la tête, Dudleyn comte de Leicester. Notre illustre père Henri huit faisait tomber les têtes qui ne se courbaient pas. Allons ! Mon cousin lord Hunsdon, que les gentilhommes pensionnaires de notre suite se tiennent prêts; mettez cet homme en lieu de sûreté. Qu'il donne son épée et qu'on se hâte ! J'ai parlé. (Hundson tire son épée; trois gentilshommes s'avancent vers Leicester calme et immobile. Amy se précipite aux pieds de la reine.) Amy Non ! Non ! Madame ! Grâce ! Justice ! Il n'est pas coupable ! Il n'est pas coupable ! Nul ne peut accuser en rien le noble comte de Leicester ! "